La solution de Lugol selon le docteur Jean Lugol. Chaque goutte contient approximativement 6mg d'iode. Dosage légal : 150mcg par jour. Une goutte dans une bouteille d'un litre. Boire 25ml par jour. Ou la taille d'un verre à liqueur. Protocoles alternatifs : Les données suivantes ne sont partagées que dans un but informatif. Veuillez respecter le dosage légal tel que figurant sur l'étiquetage. Dr. Guy Abraham : 12.5 mg/jour pour combler les besoins moyens d'un adulte en iode. Dr. David Brownstein : Maintenance 12 mg par jour (2 gouttes). Detox 50 mg par jour (9 gouttes) pendant 3 mois. Prendre le matin dans un verre d'eau, de jus de fruits, ou de lait. Peut être légèrement irritant si pris à jeûn. Commencer préférablement avec un dosage faible durant la première semaine (2-3 gouttes), puis augmenter graduellement jusqu'à 9 gouttes par jour. En cas de troubles tels que maux de tête, nausée, symptomes grippaux, cauchemars, stopper la prise de Lugol jusqu'à dissipation. Ce phénomène bien connu en naturopathie se nomme réaction d'Herxheimer. Il s'agit d'une crise curative, ou l'effet paradoxal du médicament qui accentue les symptomes de la maladie qu'il prétend traiter, tout au moins au début de son action. La stimulation rapide et massive du système immunitaire cause ces symptômes. La réaction d'Herxheimer précède donc une amélioration de l'état de santé. Les deux suppléments pouvant être utiles dans ce procédé sont le sélénium (selenomethionine) et la vitamine C. Le sélénium aide à capturer les éléments toxiques pour leur excrétion, la vitamine C aide à soulager les possibles symptômes indésirables et soutenir la fonction rénale. IL est conseillé de stopper deux jours tous les cinq jours. Naturellement, adopter un régime alimentaire sain, riche en fruits et légumes. Recommendations en cas de catastrophe nucléaire : Cliquer ici. Entretien de votre flacon : des vapeurs d’iode peuvent s’échapper de la jointure. Si vous observez la formation de gouttelettes autour de la pipette en caoutchouc, nettoyer avec un mouchoir. Sinon, l’iode détériorera la dorure en plastique. Iode et allergie : Certaines personnes peuvent être allergiques à certains produits contenant de l'iode, comme par exemple au produit contrastant injecté pour des examens de radiologie ou encore certains fruits de mer. C'est ainsi que l'idée que l'on pouvait être allergique à l'iode s'est répandue. Ceci est inexact. Les produits susceptibles d'induire une "allergie à l'iode" contiennent tous de l'iode, mais ce sont des substances différentes qui interviennent dans le cas de l'allergie. Pour la bétadine, c'est la povidone iodée (le véhicule de l'iode) qui est responsable, pour les produits de contraste iodés, l'osmolalité est mise en cause, et pour les produits de la mer (poissons et crustacés) ce sont des protéines musculaires. Il n'existe donc aucune réaction croisée ni de facteurs de risques. De plus, il n'y a aucune allergie rapportée dans le cas d'utilisation de solution alcoolique ou aqueuse d'iode (solution de Lugol, teinture d'iode, ...). Plus d'informations sur l'allergie à l'iode : ici A propos de l'iodophobie médicale : L'iodophobie médicale est la peur de la supplémentation en iode. Selon le Dr Abraham, l'opinion prévalente voulant que plus de 2mg d'iode par jour était toxique est fausse et "contredite par trois générations de cliniciens". Il trace la source de ce malentendu à une expérience sur les rats publiée en 1948 par les docteurs Wolff et Chaikoff. Cette étude conclut de façon érronée que l'iode inhibait la thyroïde à une dose environ vingt fois supérieure au RDA (dose journalière recommendée). Cette conclusion fut plus tard généralisée aux humains et enseignée dans les manuels médicaux, y compris d'endocrinologie et de nutrition. Cette étude particulière conduit à ce phénomène que le docteur Abraham a nommé "iodophobie médicale". Cette étude précise aboutit à ce que Dr. Abraham appela "l'iodophobie médicale". A l'attention des médecins, pharmaciens, ou toute personne voulant en savoir d'avantage. Lire l'exposé complet du Dr Guy Abraham concernant l'effet Wolff-Chaikoff (1948) : ici |
The original Lugol's solution by Dr Jean Lugol. Each drop contains approximately 6mg iodine. Legal dosage : 150mcg per day. One drop in a 32 fl.oz bottle (1 liter). Drink one 0.8 fl.oz (25ml) daily. Or the size of a liquor shot glass. Alternative protocols : The following informations are shared for informational and scientific purpose only. Please respect the dosage written on the bottle. Dr. Guy Abraham : 12.5 mg/day of iodine as an estimated daily need for adults. Dr. David Brownstein : Maintenance 12mg per day (2 drops). Detox 50mg per day (9 drops) for 3 months. Take in the morning in a glass of water, fruit juice or milk. May be slightly irritating if taken on an empty stomach. Start preferably with low doses during the first week (2-3 drops), then gradually increase up to 9 drops daily. In case of any trouble, stop taking Lugol the time they dissipate. David Brownstein recommends 3 months of supplementation with a daily dose of 50mg. The two useful supplements in this process are selenium in the form of selenomethionine and vitamin C. Selenium helps to capture the toxic elements for their excretion and vitamin C helps to alleviate the possible undesirable symptoms and support the renal function. It is generally advised to do two days break every 5 days. Naturally, a healthy and balanced diet rich in fruits and vegetables is essential for health and any healing process. Recommendations in case of nuclear emergency : CLICK HERE How to store and upkeep your Lugol bottle. : Lugol's solution can be stored for years without losing its potential. However the shelf life is fixed at 2 years. If you observe fine droplets forming around the black rubber juncture, simply clean it with a tissue. If not the iodine may deteriorate the color of the bottle's cap. Our bottle caps are watertight, but fine vapors of iodine often ooze out on the long term. Iodine and allergy : Some people may be allergic to certain iodine-containing products, such as contrasting injections used in radiology or some seafood. The idea that people may be allergic to iodine has spread. This is inaccurate. The products likely to induce an "allergy to iodine" all contain iodine, but they are different substances that intervene in the case of allergy. For betadine, povidone iodine (the iodine carrier) is responsible. For seafood (fish and crustaceans) it is often an allergy to proteins. There is no cross-reaction or risk factors. Moreover, there is no allergy reported in the case of the use of alcoholic or aqueous solution of iodine (Lugol's solution, iodine dyeing, etc.). About medical iodophobia : Medical Iodophobia is the unwarranted fear of using and recommending iodine supplementation. According to Dr. G.E Abraham the current prevailing medical opinion that more than 2 mg a day of iodine is toxic is wrong and "contradicted by three generations of clinicians". Dr. Abraham traces the source of this major blunder to a scientific experiment on rats that was published in 1948 by Drs. Wolff and Chaikoff. This study erroneously concluded that iodine inhibits the thyroid gland at doses of about 20 times the recommended daily allowance (RDA) for iodine. This conclusion was later generalized to humans and can be found in medical textbooks, including endocrinology and nutrition textbooks. This particular study leads to what Dr. Abraham called "medical iodophobia". To the attention of doctors, pharmacists, as well as anyone who might want to know more on this topic. Read Dr. G. E Abraham's comprehensive account of the Wolff-Chaikoff effect (1948): here |